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vendredi 29 mai 2009

Loches insolite - la suite

En enfilade


Dans le dédale


En cascade



Pour faire une pause



Les voitures lochoises... à méditer... pour la planète



A travers les feuillages



Une inondation à sec ???
un concept inédit du lochois


Une note de couleur pour la fin

samedi 23 mai 2009

Threadless

Arrivage spécial de Chicago ce matin



"Ambition killed the cat"



"Toy Traffic"

Amboise by feet... the castle




Se lancer dans l'ascension d'un château en béquilles



Bronzer en jupette pour la première fois depuis des années



S'imaginer en train de découper l'ennemi à l'épée de taille

Trouvez les erreurs sur cette photo...


Observer l'arrivée de l'ennemi depuis l'une des tourelles


De l'herbe, partout, tout le temps, c'est ça la Touraine


vendredi 22 mai 2009

Le Lac

Petite ballade familiale autour du lac de Chambray [laisse] Tours ...





Beaucoup de plantes, plus ou moins agréables à l'odeur




Beaucoup d'animaux, plus ou moins curieux






Beaucoup de pauses pour me laisser le temps d'arriver








Curieuse de savoir combien de kilomètres fait le tour complet du lac pour savoir ce que j'ai infligé à mon genou convalescent ...


jeudi 21 mai 2009

Boustifaille en folie

N'ayant pas grand chose d'autre à faire actuellement pour m'occuper, je me suis (re) mise à la cuisine ou pour être plus précise (car il faut l'être) je me lance dans la pâtisserie de haut vol. Ok c'est loin d'être gagné pour le titre de "meilleure ouvrière de France"... mais bon il me fallait me réconcilier avec cette partie de la cuisine qui n'était pour moi que du chinois !!

Pour donner un exemple de mes réussites dans ce domaine, j'avais tenté des petits pains au lait aux pépites de chocolat... Problème à l'arrivée : il s'est avéré que j'avais mélangé les recettes du pain et de la brioche... OUPS !!! Résultat : quelque chose que j'ai qualifié d' "étouffe-chrétien" (c'est ma marque déposée d'abord) ce qui laisse songeur quand à la réussite et au moelleux de la chose évidemment...

Mais tout ceci est désormais loin de moi puisque depuis je me suis équipée d'un petit objet tout bête - dirai-je - mais indispensable en pâtisserie : une balance électronique !!!! De plus, j'ai bien compris que, contrairement aux plats que j'invente avec tout et n'importe quoi ,la pâtisserie est une question de rigueur et de doigté (le second s'acquiert mais le premier je n'étais pas décidée à m'en servir !)



Pour pouvoir utiliser mon super moule siliconé à bon escient, je suis allée chercher une recette de financiers sur la toile, quelque chose de pas très compliqué, même pour moi. J'ai trouvé mon bonheur sur le site, là en dessous.

http://www.marmiton.org/recettes/recette.cfm?num_recette=17526

Le tout est de rajouter un peu de vanille en poudre et des pépites de chocolat... oui oui, je sais, je suis ultra fan de ces petites choses --- et du chocolat en général ;)



Le résultat est plus que potable. Pour preuve, mes collègues qui ne m'avaient pas réclamé d'autres "pains au lait au chocolat ratés" auraient bien repris d'autres financiers, pour accompagner le café à la récréation de 10h30 bien sûr !!

L'ultime problème - si je peux l'appeler comme ça - de cette recette de financier était de savoir que faire des 4 jaunes d'oeuf qui me restaient sur les bras... Qu'à cela ne tienne, j'en parlais alors à l'une de mes susdites collègues qui m'a sorti une recette portugaise de derrière les fagots : écrit cela donne des "Pastéis de nata", avec l'accent portugais, ce doit être une toute autre affaire !! C'est une chose qui ressemble vaguement à un flan au citron. Normalement, il faut y mettre de la cannelle, mais la recette disait vanille donc j'ai obéi. Par contre ce que ne dit pas la dame quia écrit, c'est que ça prend du temps.
  • ok, je ne suis pas douée
  • ok, je ne suis pas forcément une référence
  • ok, j'ai une patte un peu folle qu'il faut que je traîne
  • ok, je faisais un milliard de choses en même temps
------- mais quand même 2H30 de préparation cuisson incluse, je n'en ferai pas tous les jours !!!!

http://www.cleacuisine.fr/autres-desserts/pasteis-de-nata/

Esprit de contradiction oblige j'ai utilisé du citron vert :p


Eh bien disons que ce n'est pas mauvais du tout cette affaire, moi qui n'aime pas le flan habituellement, là ça passe. Il faut dire que ça ressemble plus à une crème aux oeufs aromatisée au citron qu'à un flan comme le fait ma mère.

Bon appétit et régalez-vous bien !

P.S. : deuxième essai d'écriture de cet article... pitié mon chat, ne redébranche pas sauvagement mon pc ....

samedi 16 mai 2009

Mais que deviennent mes "monstres" ?


Petit post rapide du samedi matin

Pendant que je compte mes poils de genou qui repoussent péniblement, d'autres s'éclatent avec mes élèves et vont voir les arbres.






Du coup, je me venge en allant arracher les mauvaises herbes de mon jardin --- et dieu sait qu'elles ont prospéré en mon absence ---
Comment est-ce possible avec l'attelle que je me traîne ??

"Trop fastoche" diraient Pierre et Mathis --- il suffit de mobiliser des muscles inutilisés jusque là : ceux de la cuisse droite vont devenir du béton. Et merci mes gènes de m'avoir accordé un tant soit peu d'équilibre ;)
Le traitement post-jardinage ne se fait généralement pas attendre : glace, froid sous toutes les formes disponibles et Lamaline mon indéfectible ami...

Quelle vie trépidante mes amis !!

mercredi 13 mai 2009

Quand on boulaye ...

J'ai la chance d'avoir des amies qui ne se posent pas des tonnes de questions existentielles.
Si par exemple, elles ont décidé d'aller pique-niquer un samedi soir, elles s'organisent pour aller pique-niquer un samedi soir. Mon cerveau étriqué par des années de pique-niques familiaux dominicaux s'est d'abord dit qu'il fallait être complètement barré pour prévoir un truc comme ça au dernier moment. Et puis l'idée a germé petit à petit, aidée en cela par leur force de conviction alliée à leur persuasion.
Pourquoi pas après tout ?

Il y en a une qui a trouvé le bon plan : à même le pavé, et du coup, plus près de la nourriture ...

Préparer une salade composée à 21 heures, pour décoller une heure plus tard en direction du château de Loches, by night donc. Etape la plus compliquée pour moi : monter à l'arrière d'une Saxo !
Avec mes quatre jambes, nous avons grimpouillé les pentes un peu raides qui mènent au-dit château pour nous rendre compte que sans éclairage ça craignait un peu tout de même, encore plus pour moi, qui en cas d'attaque devrait faire face à l'agresseur : hors de question de prendre l'option de la fuite rapide !! Visite de plusieurs endroits... pour atterrir sur un banc de pierre en face de la collégiale Saint-Ours, magnifiquement éclairée et encore ouverte ...
"Y'a pas d'heure pour le seigneur " (moi)


Visiblement nous n'étions pas les seules à avoir envie de prolonger cette belle journée de mai : entre les promeneurs nocturnes de chiens, les voitures qui viennent se planter parce que c'est en sens unique, les photographes amateurs venus essayer leur méga focus de nuit et les gens bourrés qui cherchent désespérément quelque chose (mais quoi ???) nous avons presque été dérangées !!!!

C'était sans compter la présence d'animaux suspects, gluants, rampants et sans coquille ...


Bilan : une excellente soirée grâce à une excellente idée ---- un grand MERCI.

L'hôpital - épisode 3

J+3 : nous sommes dimanche, enfin ! Jour du croissant en plus de mon petit morceau de pain-beurre et de mon jus d'orange (obtenu après moult tractations ).Ce matin le kiné passe... et je lui dit que je veux me lever et marcher avec mes béquilles : il est ok et me regarde faire... depuis le temps que je me revois marcher en rêve, je gère trop bien mon premier posé au sol sous ses yeux ébahis !!! Tout n'est qu'une question de volonté en ce bas monde.

Mon cher Alex passe me voir avec ma future belle-soeur : cela fait déjà un petit moment que je suis sortie de cette clinique avec ma garde-malade préférée et mes béquilles, bien sûr ;) Après 4 jours d'enfermement, j'apprécie le soleil qui me réchauffe, et pas à travers une vitre. Je fais comme Titou : je me mets face au vent et j'hume le fond de l'air. Ce n'est que quand on en a été privé pendant longtemps que l'on sait apprécier chaque chose, chaque geste, même banal, même quotidien, par la suite.

Il était temps que je puisse enfin me laver les cheveux


J+4 : changement de kiné ce matin ---- Nicolas ---- il insiste lourdement sur les exercices, et me fait comprendre que contrairement à ce que j'avais prévu dans mon planning intra-crânien, je ne sortirai pas aujourd'hui mais qu'il repasserait cet après midi pour refaire une séance et voir si pour mardi ce serait d'accord. Je n'ai plus rien de branché quelque soit le lieu de mon corps ! Mon catéther s'est fait kidnappé ce matin, je suis enfin vraiment libre de tout mouvement. Faire ma toilette toute seule depuis hier relève d'une véritable épreuve sportive. Pour ne pas souffrir outre mesure, je surélève ma jambe sur une bassine sur laquelle j'ai posé la petite poubelle de la salle de bain.... le carnage si quelque chose tombe.... je n'ose y penser....
Mes collègues viennent me voir cet après midi... enfin presque à l'heure du repas... ça m'énerve de devoir manger si tôt et devant celles et ceux qui viennent me voir en plus. Ceci dit si j'attends trop ce sera froid :( Je me prépare psychologiquement au fait de sortir enfin demain... Finalement c'est aussi dur d'en sortir que d'y entrer... Plus personne au bout du bouton rouge si j'ai un problème... Plus personne pour me filer une dose de morphine si la douleur se remet à être insupportable... Je vais réapprendre à devenir autonome, ou presque, ou pas, j'espère...

Pour être complète sur le sujet, je vous présente ma pharmacie pour le retour :
  • Diclofénac : anti-inflammatoire, mais pas bon pour l'estomac
  • Eupanthol *** : pour contrer les effets nocifs de l'anti-inflammatoire
  • Paracétamol : quand je pense qu'ils m'ont foutu dehors avec ça pour la douleur...
  • Lamaline *** : opiacé... pour la douleur donc
  • Noctamide *** : somnifère soi-disant puissant mais bon, quand ça veut pas, ça veut pas...
Les médocs avec *** ont été rajouté par mon propre toubib... sinon je me serai tordue de douleur pendant quelques temps...


J+5 : jour de sortie !!!! le pied, le bonheur, la joie suprême et intense.... mais je n'en dirai pas autant du trajet en voiture, qui rime plutôt avec torture...

VICTOIRE !!! Je suis chez moi... enfin !

Depuis, Titou fait gardien de genou


samedi 9 mai 2009

L'hôpital - épisode 2

J+1 : alors que je me reposais j'entends frapper à la porte. Il est 7 heures du matin. L'objectif ??? Me faire craquer ??? Non c'est juste pour prendre ma tension, ma température et me remettre de la flotte...à défaut d'avoir dormi, j'ai bu toute la nuit après avoir appris par l'infirmier de nuit que le chauffage qui était à 20 cm de mon visage était sur thermostat 5 ...
8 heures : j'avais de nouveau replongé ... Petit déjeuner vocifère une voix grave attaquée par le tabac... comme si j'avais faim ....
Premier matin post-op' : je subis ma première énorme humiliation. J'essaie de me faire à l'idée que c'est leur métier, qu'elles en ont vu d'autres et que moi j'en verrai d'autre aussi... mais ça ne passe pas, la boule au fond de la gorge, l'envie de pleurer pendant qu'elles s'y mettent à deux pour me faire ma toilette. J'ai l'impression d'être un paquet de viande qu'on retourne pour refaire le lit et puis le reste.



C'est dommage on ne voit pas bien mon rouge à ongle... En fait de rouge, ce serait plutôt de la bétadine.... Avaient-ils besoin d'en mettre jusque là alors que c'est un endroit qu'il me sera difficile à atteindre pendant quelques temps ????


De toute façon je ne sens pas ma jambe. Les rares moments où je la sens c'est parce qu'elle est appuyée trop fortement contre quelque chose qui bien souvent est mon autre jambe... M'en sortirai-je ??? Moment de flottement hors de son propre corps sinon on pète un plomb.
Bonheur intense à côté duquel j'ai failli passer : me laver les dents. Ceci dit tentez donc de vous brosser les dents avec la main gauche reliée à un perfusion, une jambe inerte, un lit que vous avez mis à 90° pour pouvoir recracher le dentifrice ailleurs que sur son ventre, le tout en réussissant à viser l'énorme bassine qui ne bougera pas puisque vous n'avez pas de force dans les bras. Je fais ma pénible : je veux qu'on me retire ma chemise de bloc que j'ai depuis plus de 24 heures !!!!! Découpage de ladite chemise, enfilage d'un tee shirt, ô joie, ô bonheur .....
Quand je pense à ma collègue de chambrée qui, ayant le bras droit en écharpe, ne bouge pas d'un iotat et est toujours habillée de la même façon depuis mercredi .... blurps !
Le reste de ma matinée se passe en espérant voir un kiné, un toubib, quelque chose avec une blouse blanche quoi ! Les infirmières sont très sympas, ce n'est pas le problème mais elles ne peuvent pas tout faire. La matinée s'est passée, l'après-midi se pointe au même rythme :
"dtt" : douleur-tension-température

Deux amies arrivent, on se lance dans une partie de scrabble, je grimace, serre les dents et puis au bout d'un moment je rappelle une infirmière... une demie dose de morphine pour que je puisse finir ma partie... que nous ne terminerons pas de toute façon. Contrairement à la nuit précédente, le produit fait effet, je lutte pour ne pas sombrer.


Première nuit de sommeil, même léger !


J+2 : nouveau tee shirt (je sais j'y tiens ) et caleçon !!!!
Youpiiiiiiiiiiiiiiiiii
Premier changement de pansement je vais enfin pouvoir voir à quoi ressemble la chose... En fait je scotche complètement sur cette jambe complètement déformée par les bandages, les hématomes, l'effet du garrot, du drain, du cathéter, de l'anesthésiant diffusé en continu dans mon organisme. Cette chose là ne m'appartient pas !!! Je regarde les gestes de l'infirmière, sûre d'elle, de ces ciseaux, de sa "famille Bétadine", de ses compresses. Elle referme le tout : nouveau pansement plus léger, je vais enfin sentir la glace que tout le monde s'obstine à me mettre sur le genou alors que je ne sentais rien jusque là. Kiné... Pas déçu de ma jambe : me demande d'appuyer avec mon genou .... Ah Ah c'te bonne blague !!!! J'appuie mais je ne sais pas si ça se voit... L'important c'est la volonté...


Après - midi entre amis... je visionne avec envie le saut en élastique de Daminou... Que ne donnerai-je pas à cet instant précis pour y être et me dégourdir les jambes ???

dimanche 3 mai 2009

L'hôpital - épisode 1

Mes deux premiers jours d'hospitalisation, ça donne ça :

J-1 : entrée à la clinique... 17 h... foultitude de questions dont trois fois celle-ci :
"Est-ce que vous êtes allergique à l'iode ?" ----> était-ce pour vérifier que je ne l'étais pas ou l'infirmière était-elle tellement balisée que je le sois et n'ose pas le dire qu'elle a insisté....
Vers 18h j'apprends avec joie et bonheur que je devrais me lever à 5h30 pour prendre une double douche à la bétadine "scrubb" la rouge, celle qui se rince... Un peu plus tard, j'étreins mon amie qui m'a amenée là... comme si c'était la dernière fois qu'on se voyait !! N'importe quoi, je me fais opérer d'un genou pas du coeur... 23h 30 : après Tarzan et Lilo&Stitch 2, je décide d'écrire un testament... Je sais : re-n'importe quoi... m'enfin ça m'a rassuré... Je m'endors enfin.



Jour J : 5h30, bien dormi, grâce au dieu Xanax ... Double douche à ladite Bétadine... Je demande un café... On peut toujours essayer et rêver !!! Après, tout s'enchaîne très vite : descendue sur un brancard après avoir pris un 2° Xanax (histoire que je me tienne tranquille) Défilé de brancardiers sympas... Salle pré-op'... Les infirmières de bloc déconnent entre elles. C'est leur façon à elles de décompresser avant de se lancer dans les interventions auprès des chirurgiens. Salle d'anesthésie : et paf !!! Première piqûre sur le dos de la main... Je sens un liquide froid m'envahir et remonter le long de mon bras. Terminé ! Rideau !
Je me réveille... une fois... deux fois... à la troisième je me redresse et là quelqu'un dit " elle se réveille" Bien sûr que je me réveille... je suis où là ???? Un jeune homme se penche vers moi avec un bloc à la main et me dit que l'opération est terminée et que tout s'est bien passé... C'est une blague ? Quelle heure est-il donc ? Midi !!!! La vache ....


14 heures : je re-émerge pour la énième fois cet après-midi. Je tousse comme une malade depuis que j'ai retrouvé ma super chambre...comme si j'avais fumé un paquet entier depuis ce matin. Je m'en enquiers auprès de l'infirmière qui passe toutes les 2 minutes (mais ce n'est qu'une impression évidemment ;p ) "Ne vous inquiétez pas, c'est l'intubation, ça va passer" Une intubation ??? Comme dans "Urgences" ?? Et je ne m'en suis même pas rendue compte !?! Wouaouh .... Je ne sais pas quelle heure il est quand j'entends un "toc-toc-toc" timide. C'est Cécile qui n'a pas renoncé à venir me voir. Pas déçue ! J'ai l'impression de flotter, je n'ai pas trop mal, j'essaie de tenir une conversation mais ne me demandez surtout pas de quoi nous avons parlé... aucun souvenir ! J'ai enfin le droit de boire, il doit être plus de 16 heures*.
18h30 : la petite dame au chariot roulant apporte la bouffe ... pfffff ça sent terriblement bon ! Mais non, je n'ai pas faim finalement. Je me contente des pâtes au saumon et d'un bout de fromage. Je mange sans appétit... On m'aurait privé de dîner que ça n'aurait pas été très grave.
Le ballet des infirmières toutes les heures continue... tension, température, piqûres, vérification des perf'... joies du bassin (je préfère ne pas m'éterniser sur ce sujet : ça pourrait m'énerver à nouveau ^^'' )
Ma nuit la plus horrible démarre... sueurs froides - coups de chauds - douleurs atroces (ah si ! ils ont bien fait quelque chose sur cette jambe, c'est en train de se réveiller) - insomnies - envies de bouger, d'aller courir, ça me démange, j'ai mal, je ne me sens pas bien du tout... Une dose de morphine dans le ventre - direct ! - une étrange sensation parcourt mon corps, une espèce de chaleur douce me remonte jusqu'au visage... je sens toujours ma jambe, ça me fait mal mais je m'en fous... c'est ça l'effet morphine ???







* J'ai appris qu'on pouvait boire au minimum 4 heures après une anesthésie générale et qu'on pouvait manger 6 heures après.

vendredi 1 mai 2009

De retour

Un petit séjour à l'hôpital - oups ... à la clinique - et me voilà de retour

Aujourd'hui, premier mai : jour de la fête du travail... je ne travaille plus, je me repose...

Il paraît que mon corps a besoin de temps pour se remettre d'une anesthésie générale... je veux bien mais de combien de temps va-t-il donc avoir besoin ???

6 jours d'hospitalisation... avec le recul je dois dire que j'ai parfois eu l'impression de vivre un sketch, une caméra cachée même, cette mâââgnifique expérience fera peut-être l'objet d'un futur post... là c'était pour reprendre pied avec la civilisation

En prime, un petit brin d'actualité, rien que pour vos beaux yeux, gardé actuellement par mon fidèle Titou...en espérant qu'il ne lui prenne pas l'envie subite de mordiller dedans !!!